Cerisier à Fleurs
Nom latin : Cerasus avium (Prunus avium)
Famille des : Rosacées
Noms vernaculaires : Merisier, Cerisier des oiseaux, Cerisier des bois, Cerisier sauvage, Guignier, Guignier sauvage.
Nom latin : Cerasus avium (Prunus avium)
Famille des : Rosacées
Noms vernaculaires : Merisier, Cerisier des oiseaux, Cerisier des bois, Cerisier sauvage, Guignier, Guignier sauvage.
À l’aube du XXe siècle, réunissant l’élite des apiculteurs français, notre société provoquait la création de 38 groupements apicoles et était reconnue d’utilité publique par décret du 13 Mars 1900. Elle était priée d’organiser, au moment de l’Exposition Universelle, le deuxième congrès international d’apiculture.
Liste des présidents de la Société Centrale d’Apiculture :
Selon la liste donnée par J.M. Jeanton Lamarche dans son livre « Pour une histoire de l’Apiculture française [1] ».
Le Bon de commande médailles est accessible en téléchargement.
Quelques évènement jalonnent la vie de la SCA, en voici un aperçu.
Les voyages annuels de la Société Centrale d’Apiculture :
Retrouvez la destination générale, les noms de ceux qui nous ont aidés à les organiser, les personnages marquants du monde apicole en relation avec ces voyages, les principales haltes et quelles photographies.
« On est dans l’utopie. On sème des graines d’idées. » Ainsi parle Gilles Boddaert, le président de la Société Centrale d’Apiculture (SCA), une institution discrète et vénérable qui a fêté, fin septembre, son siècle et demi d’existence.
Dans une vie « antérieure », j’ai eu la chance d’aller à St Paul et Nouvelle Amsterdam puis aux îles Crozet qui forment, avec l’archipel des Kerguelen et la Terre Adélie, les Terres Australes et Antarctiques Françaises.
90 millions d’ha de Plantes Génétiquement Modifiées sont déjà cultivés dans le monde. Dans le cadre de la nouvelle loi votée par le parlement, la France va, elle aussi, considérablement étendre la culture disséminée (en plein champ, non confinée) des PGM.
La France en est le premier utilisateur en Europe, le troisième dans le monde.
Est-ce bien nécessaire ?
La lutte biologique contre les parasites peut diminuer considérablement les recours aux pesticides : par exemple, avec un retour systématique à l’assolement triennal, notamment pour le maïs.
Que ne dit-on pas sur l’apiculture urbaine et en particulier sur celle de Paris ?… Production exceptionnelle ? Une meilleure forme pour nos abeilles ? Moins de pesticides ? Oui sûrement !