
Mon premier essaim « mitraillette »
L’âge de la retraite étant proche, je voulais faire revivre une vieille passion qui était née lorsque mon père s’occupait de quelques ruches au fond de son jardin.
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L’âge de la retraite étant proche, je voulais faire revivre une vieille passion qui était née lorsque mon père s’occupait de quelques ruches au fond de son jardin.
Vous la connaissez, vous, la Nicolàide ? avais-je demandé à l’Albert, le patron vigneron chez lequel j’étais allé vendanger cette année-là pour me faire les quatre sous nécessaires à l’achat de ma première ruche, car déjà, à dix-sept ans, m’habitait la passion des abeilles, et mon père, paysan besogneux, n’était pas assez riche pour la satisfaire.
L’apiculture est, pour beaucoup d’entre nous (je parle des amateurs bien entendu) une passion qui a des racines familiales : « mon grand-père a toujours eu des ruches et je retrouve les gestes que je lui ai vu faire » entend-on souvent ; parfois, c’est la satisfaction d’une curiosité d’enfant.
Jamie Lozoff, 20 ans, est une apicultrice de Philadelphie, Pennsylvanie – Etats Unis, membre du « Philadelphia Beekeepers Guild » (Association des Apiculteurs de Philadelphie). Elle a découvert le monde des abeilles à 16 ans, et depuis cette découverte, elle s’est intéressée aux abeilles du monde entier.
Les pièces en monnaies de billon avaient encore cours dans les années 1920. Faites d’un alliage de cuivre, elles présentaient un bel aspect brillant, du moins tant qu’elles étaient encore neuves.
L’abeille est l’avenir de l’homme…
Congrès de Villefranche - octobre 2008
À la tribune : deux apiculteurs américains (3000 et 8000 ruches),
un jeune apiculteur de Rhône-Alpes (quelques centaines de colonies).
La SCA : Bonjour Gaël, pouvez-vous nous raconter vos premiers pas en apiculture ?
Gaël : j’ai découvert l’apiculture en 2009 grâce à un collègue jardinier de la ville de Bondy. Il venait d’y installer quelques ruches. J’ai ensuite créé le rucher de la municipalité de Montfermeil en juin 2011.
Le car s’ébranlait à cinq heures du matin. Le chauffeur, après s’être enquis de la nature un peu étrange de mon colis, pour plus de sûreté, décida de l’enfermer dans le deuxième coffre arrière, celui où, en général, il ne mettait pas les bagages des voyageurs. Nous fûmes assez vite en gare des Arcs où je devais prendre un autre car sur Draguignan.
C’est avec beaucoup de poésie que Henri-Jean Poudou décrit la région qui le voit pratiquer l’apiculture depuis bientôt 70 ans. Protégeons cette nature généreuse, trop souvent agressée par les vendeurs de chimie.
C’était un bel après midi de septembre, l’été s’alanguissait mollement comme s’il contemplait son œuvre finissant, achevant de mûrir ses fruits que les fleurs du printemps lui avait offert. Quelques feuilles mortes commençaient à tapisser le sol, signe avant coureur qu’immuablement dame hiver s’approchait et que peu à peu la nature allait s’endormir pour de longs mois.
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